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Actualités

Un jour une occase ! ep.10

Et bien le bonjour !

 

Aujourd’hui pour ce dixième épisode de Un jour une occase, voici un auteur que j’apprécie beaucoup: Ian MacDonald ! Avec Roi du matin, reine du jour publié en 2009 chez Denoël Lune d’encres. 

On y suit le destin de trois femmes irlandaises, à trois époques différentes, trois rapports au récit, au mythe ou au mensonge. Ça ne vous rappellerait pas une certaine Forêt des mythagos par hasard ? Eh bien, le livre y a été comparé, en effet. Seulement bien que MacDonald puise dans les mythes, sa façon de raconter, la façon dont ses personnages s’expriment, tout est beaucoup plus… “punk”, que Robert Holdstock. 


Que ce soit dans la trilogie Luna, son roman Le Fleuve des dieux ou encore sa novella Le Temps fut, Ian MacDonald produit toujours des récits à la fois très pertinents sur notre époque sans jamais se départir d’une fibre iconoclaste. J’aime bien ce gars. Je l'ai déjà dit ? Je parle même pas des prix sous lesquels il croule, il a presque tout eu. Aucune excuse pour ne pas cliquer !

 

À demain !

Avalanche de Fleuve Noir Anticipation

Bonjour !

 

Avis aux collectionneur·euse·s

 

J’ouvre un volet particulier en ce qui concerne la mise en ligne de livres. Un gros volet même.

Juste à côté de moi se trouvent à peu près 1300 numéros de Fleuve Noir Anticipation.

Ça commence au numéro 1, bien entendu, sinon ce serait pas marrant. Et ça finit au 1631.

Cela signifie, vous l’aurez compris, qu’il y a un vide dans la collection, mais rassurez-vous il n’arrive pas avant les 1200 quelque chose. Mettre tout ça en ligne va prendre un peu de temps car ces petits gars n’ont pas de code barre sur le derrière, entre autres raisons. Si jamais vous collectionnez les Fleuve Noir Anticipation et que vous trépignez de combler votre collection, n’hésitez pas à écrire un mail à contact@lavondyss.fr. Je regarderai si j’ai en stock le numéro que vous cherchez et le mettrai en ligne expressément pour vous.

 

Tant que j’y suis, je vous invite chaudement à vous inscrire à la newsletter de Lavondyss. N’ayez crainte, je ne vais pas spammer votre boite, simplement vous dire ce que j’ai rentré de beau sur le site ou quels développements y ont été apportés, ce à peu près une fois par mois pour le moment. Pour ce faire, rendez-vous en bas à droite de n'importe quelle page !

 

Et tant que j’y suis encore, sachez que si vous résidez à Paris ou en proche banlieue, vous pouvez sélectionner l’option remise en main propre afin de vous épargner les frais de port. À la rentrée il sera également possible (normalement) que vos commandes soient disponibles au retrait en Scylla, chez le camarade Xavier Vernet.

 

C’est tout pour aujourd’hui !

 

Gare aux bourrasques et aux éclairs, les élémentaires sont déchaînés !

 

Pierre

Un jour une occas ! ep.9

Salut, ça pulse ?

 

Aujourd’hui dans Un jour une occase  voici venir le premier et unique numéro de la collection Pulsar: Century XXI. Parue chez Encrage en 1995, cette anthologie compilée par Sylvie Denis  - qui la traduit également -  et Francis Valéry comprend 9 nouvelles d’auteurices - oui, il y a une femme au sommaire, hourra ! - britanniques tel·le·s que Brian Stableford, Paul McAuley, Greg Egan et Nicola Griffith. La fabrication du livre est assez soignée, il est cartonné et toilé, du luxe !


Pour en revenir à Nicola Griffith, elle a remporté le World fantasy award pour son travail d’anthologiste avec Bending the landscape qui regroupe - avec un volume par genre - des nouvelles d’imaginaire LGBT. Elle a obtenu les prix Otherwise (anciennement James Tiptree) pour Ammonite en 1993 et  Nebula pour Slow river en 1996. Ceci et quelques 6 prix Lambda (ou lammy). Seulement deux de ses nouvelles ont été traduites en français, vraisemblablement, une dans la présente anthologie et une autre dans le recueil La Petite mort paru chez Albin Michel en 1998. Il est assez surprenant de constater en 2022 qu'elle soit si peu traduite. Enfin j’dis ça.

À demain !

Un jour une occas ! ep.8

Et bonsoir !

 

Aujourd’hui dans Un jour une occase je vous propose de jeter un coup d'œil à Glissement: Une anthologie de troubles topographiques. Il s'agit d’un numéro spécial de Fiction édité en 2009 pour fêter les 5 ans des moutons électriques. Cette anthologie compte 9 nouvelles ayant toutes pour thématique l’espace et la topographie. Il s’agit d’un tirage hors commerce imprimé à 70 exemplaires.

 

Avis aux ovinphiles !

 

On y croise par exemple au sommaire Léo Henry qui livrera l’éminément topographique Thécel 11 ans plus tard, Jacques Mucchielli avec une nouvelle aux atours tout à fait ballardiens (est-ce vraiment surprenant ?) et un certain John Crowley déboule avec d’étranges extraterrestres (mais pas de corbac). Entre autres bonnes gens bien entendu !

 

A demaing !

Un jour une occas ! ep.7

Bien le bonjour à toustes,

 

Aujourd’hui dans Un jour une occase nous allons parler de: Odyssées de H… Arthur C. Clarke bien sûr ! Il s’agit de l’intégrale des nouvelles du bonhomme, parue en 2013 chez Bragelonne. 106 p’tites histoires. Une avant le dodo. Peut être une pendant aussi, selon votre degré de somnambulisme.

On en parlait hier. 106 idées. Je ne vais pas vous lâcher avec ça hein.

 

À demain !

Un jour une occase ! ep.6

Salut vous autres !

 

Aujourd’hui dans Un jour une occase voici venir: Le Miroir aux éperluettes de Sylvie Lainé publié chez ActuSF dans la collection les 3 Souhaits en 2007. Dans ce recueil on trouve 6 nouvelles sur l’altérité et la rencontre (dont une qui a obtenu le Prix Rosny Aîné). Je ne l’ai pas du tout choisi parce qu’il y avait des végétaux anthropomorphes sur la couverture, promis juré !

 

Je l’ai choisi parce qu’une nouvelle de SF c’est un cliché d’un instant radicalement - ou juste un poil - autre. C’est pour ça que l’on dit souvent que la nouvelle est le format roi, ou la forme reine si vous préférez, de la science-fiction. Une idée, une nouvelle, plein de nouvelles, plein d’idées. Bam. D’ailleurs j’ai un truc à vous apprendre, il y a 99% de chance que vous soyez en carence de nouvelles. Regardez, la preuve in situ, vous êtes en train de lire un billet de blog et pas une nouvelle. Allez, chop-chop, on ouvre un recueil.

Premier carton d'occasion post lancement !

Bien le bonjour !

 

Ce lundi marque l’arrivée du premier carton post lancement de Lavondyss. C'est un peu Frank Herbert et Philip K. Dick VS les Strougatski vous allez voir. Entre autres !

 

Chez Denoël Lune d’encre:

- Double Trilogie divine de Philip K. Dick.

- Invasion divines sa biographie signée Lawrence Sutin

- L'Île habitée d’Arcadi et Boris Strougatski

- et Chiens de guerre de Adrian Tchaikovsky

 

De manière plus décousue maintenant:

 

- Ru de Camille Leboulanger chez l’Atalante

- Les Enfants de Dune (Nouvelle éd.) de Frank Herbert chez Robert Laffont

- Poisson-Chien de Laurent Rivelaygue à La Volte

- Sisyphéen de Dempow Torishima chez l’Atelier Akatombo

- Révélations en noir de Carl Jacobi chez Néo

 

Côté poche maintenant:

 

Dans la collection Les Best-sellers de la science fiction Soviétique chez Fleuve Noir, tous d’Arcady et Boris Strougatski:

- Le Scarabée dans la fourmilière

- L’Arc-en-ciel lointain 

- Le petit 

 

En Présence du futur:

- Un Gars de l’enfer 

- Les Vagues éteignent le vent 

- et Il est difficile d’être un dieu, des mêmes frangins, vous l’aurez deviné.

 

Vous aurez aussi deviné que les sept romans des Strougatski de ce carton constituent la majeure partie du Cycle du midi.

 

Pour continuer avec les Poches, cette fois-ci chez Pocket nous avons:

- Les hérétiques de Dune et La Maison des Mères de Frank Herbert, dans leur dernier lifting.

- Étrangers du grand Gardner Dozois.

- Et Yardam d’Aurélie Wellenstein.

 

Un unique (mais pas moindre) Folio SF se baladait dans le carton: les best-sellers

 

- Expiration de Ted Chiang

 

Voilà la fin de ce premier tour de carton. En ce qui concerne les prochains ajouts au stock, l’avenir me portera vers… Le passé lointain (hin hin)

 

A demain pour Un jour une occase !

Un jour une occase ! ep.5

Ave Lavondinautes,

 

Aujourd’hui nous allons parler de La Cinquième tête de cerbère - les autres je ne les ai pas côtoyées - de Gene Wolfe, dans sa première édition de 1976 chez Robert Laffont - Ailleurs et demain. Traduit par le monstrueux Guy Abadia et présenté dans une robe toute d’ondulations chromées ! Hier il était question d’extractivisme spatial, dans le roman d'aujourd'hui de colonialisme et d’acculturation. La science-fiction est une littérature d’idées, ce n’est plus la peine de le prouver, mais d’idées joyeuses !

 

Le saviez-vous ? Quand il n’écrivait pas sur les thématiques surcitées ou bien le lumineux roman L’Ombre du bourreau, Gene Wolfe était un fameux ingénieur. Il a notamment contribué à la machine qui devait produire de manière industrielle les Pringles.

Comme quoi, à l’instar de son cerbère, il devait bien avoir au moins deux têtes. Une avec les bonnes idées et l’autre avec les chips.

Un jour une occase ! ep.4

Salutations Aventurier·e·s galactiques,

 

Aujourd’hui dans Un jour une occase je vous télétransmets CyberDreams 2, légendaire et rare revue de SF. J’aurais bien aimé proposer le premier, mais il faut croire que je ne suis que modérément veinard.

Ce numéro paru en 1995 est titré Banlieues stellaires. Il postulait à l’époque que “Demain, des stations orbitales seront ancrées aux points de Lagrange, nous serons sur la Lune, sur Mars, sur les lunes de Jupiter, nous exploiterons les richesses minières des astéroides”. Eh bien, non les gars, point de tout ça. En revanche on a les smartphones et Tiktok. Question de priorité.

 

Note de mise à jour: Vous pouvez désormais ne faire apparaître que les résultats de recherche qui sont bien en stock.

Un jour une occase ! ep.3

Coucou !

 

Aujourd’hui dans un jour une occase voici venir les Guerriers du silence de Pierre Bordage. Il s’agit de la première édition de 1993 chez L’Atalante en Dentelle du cygne, dans son époque au papier vergé blanc. Classe man, top of the pop !

J’ai d’autres jolies choses dans cette collection-ci en stock, mais je voulais commencer en petite foulée.

 

Cela fait bien le lien avec le Herbert d’hier, puisqu’il s’agit également d’un sublime planet opera et que l’on y parle de théocratie et de transcendance, tout comme dans Dune.

Fun fact: l’illustration d’Alain Robert ne ressemble en rien à ce que j’avais imaginé de Syracusa. La faute à Caza je présume.

 

À demain !

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