Enfant de Besançon, Franc-Comtois par sa mère, Vosgien par son père, Jean-Pierre Vançon a été élevé à l'ombre de Victor Hugo et dans le culte de Pierre Teilhard de Chardin, de Beethoven et de Moussorgski. Alexandre Dumas l'ennuyait et Saint-Exupéry le fascinait.

Docteur ès sciences, expert en eaux souterraines, ses amitiés lui ont fait connaître l'Amérique Latine et l'ont entraîné sur les traces d'Atahualpa Yupanqui, de Pablo Neruda, de Chabuca Granda et de bien d'autres. Il aime flâner dans les rues de Lima, de Quito ou de Mexico. Il apprécie le talent, le fatalisme et la force de caractère des habitants de ce merveilleux continent.

Il se consacre à présent à l'écriture d'une longue réflexion sur l'univers et sur la vie, au gré de promenades sur les sentiers de la Vôge, la terre de son enfance. Le fond de sa pensée : conscient de la fragilité de notre petite planète perdue dans l'immense univers, il est inquiet pour l'avenir de ses enfants. Excédé par l'invasion de la langue anglo-saxonne, il souhaite lutter farouchement pour la survie de la culture française, au nom du pluralisme synonyme de progrès.

Les temps forts de sa vie : un tremblement de terre de 50 secondes, deux heures sur le tabouret branlant réservé aux suspects de la Cour des Comptes, un dîner à la table d'un ancien Président du Mexique, les moments passés avec la famille et les amis.